Il faut agir maintenant !
La question de la souffrance des jeunes au plan psychologique est apparue sur le devant de l’actualité parmi les effets du Covid. L’isolement lié aux contraintes dues à la pandémie aurait fragilisé de nombreux jeunes. Les circonstances étaient exceptionnelles, convenons-en.
La souffrance des jeunes au travail
Aujourd’hui le constat porte sur la même santé mentale des mêmes jeunes mais cette fois-ci dans le cadre de leur travail, ce qui lui consacre un caractère récurrent… qui ne nous surprend guère tant la qualité de vie au travail est dégradée.
Plus souvent arrêtés mais moins longtemps
Les jeunes sont plus souvent en arrêt maladie que leurs aînés… mais pour des durées plus courtes. Ce n’est pas un désengagement, c’est une prise de conscience : leur santé mentale compte !
Épuisement et troubles psy
Voilà un chiffre qui plante le décor : 22 % des jeunes arrêtés pour épuisement ou troubles psy (vs 16 % globalement) ! Ils dénoncent :
- une charge de travail trop lourde
- un manque de reconnaissance
- un mauvais équilibre vie pro/vie perso
- des relations sociales parfois toxiques
L’Unsa-Caisse d’épargne revendique :
- 💼 Allègement de la charge de travail
- 🙌 Reconnaissance du travail accompli
- ⏱️ Plus de flexibilité choisie
- 🧑⚕️ Suivi médical renforcé
- 💬 Meilleur climat social au travail
Sachant que…
81 % des jeunes déclarent vouloir progresser dans leur travail. Aidons-les à le faire dans de bonnes conditions.
Vous avez la parole sur la QVCT, n’hésitez plus, prenez-la !
L’Unsa Caisse d’épargne se mobilise pour une vraie qualité de vie au travail, pour tous, et vous donne la parole sur la QVCT. Participez à notre grande enquête en répondant d’ici au 15 juillet au sondage :
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ou
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Article signé
Franck DELAGRANDE
Secrétaire national
Unsa Caisse d’épargne