Une semaine après la Convention du 13 septembre, qui nous a offert son lot de surprises incroyables, de cadeaux et d’invités prestigieux, quelle ne fut pas notre déception lorsqu’il fut annoncé que les collaborateurs de la CEPAC seraient autorisés à quitter leur lieu de travail une heure plus tôt la veille de Noël et du Jour de l’An.
Deux heures généreusement offertes
Aux moments sans doute les plus attendus de l’année, qui permettent à toutes les familles parfois éloignées, de se réunir dans l’ambiance magique de Noël.
Une décision sans doute prise pour assurer la continuité du service et maintenir l’ouverture des points de vente qui sont pourtant désertés par les clients, surtout les après-midis occupés aux différents préparatifs de ces festivités, ce qui peut se comprendre…
Autrefois, les jours carillonnés avaient tout leur sens la veille des fêtes.
Il y a 150 ans, plutôt que de diviser, les parlementaires aux approches des fêtes de Noël s’accordaient un moment de trêve, la fameuse trêve des confiseurs.
Aujourd’hui, à nos salariés « la plus grande valeur de la CEPAC », on octroie généreusement 7200 secondes.